Le mental d’un skipper de course au large est mis à rude épreuve :

- tenir moralement durant les courses alors que l’on dort à peine. La fatigue crée d’énormes difficultés à gérer ses émotions

- se faire confiance lorsque les autres font des choix différents pendant les courses

- prendre des risques pour gagner des opportunités qui peuvent te faire gagner

- persévérer et chercher à revenir dans la course quand on est bien en dessous du classement souhaité.

- rebondir lors d’imprévus comme un casse, une molle ou l’endormissement, qui font perdre des précieuses places dans le classement

- assumer les échecs face à ses sponsors, ses fans ou son équipe, persévérer pour rebondir

- montrer une image inspirante devant les médias, même si on n’est pas toujours content de sa course ou que l'on passe par un moment difficile

- faire face à la peur du danger lors de mauvaises météos, chavirage ou casse durant les courses

- se vendre pour se faire remarquer des sponsors quand on a un nouveau projet

- faire face aux haut et aux bas dans ses recherches de sponsors

- faire face à l’incertitude de l'avenir, croire en soi et en ses choix de carrière

- concilier vie de famille et vie de sportif de haut niveau, devant faire face à des choix parfois difficiles

- gérer des problèmes familiaux ou d’équipe sans être impacté pendant les courses

- ne pas faire subir à son équipe ses propres peurs, colères, frustrations, ne pas retransmettre les mêmes comportements inefficaces que l’on a envers soi-même à son équipe

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ENCORE TROP peu de marins ont un entraînement mental

On connait tous la légende du skipper qui va couper le manche de sa brosse à dent pour gagner du poids.

Dans un sport de haut niveau, on cherche à tout optimiser.

​On recherche les dernières techniques qui permettront d’avoir un avantage différenciant sur ses concurrents.

Optimiser son alimentation, sa forme physique, avoir le bateau le plus aérodynamique possible, le plus léger, etc. 

Travailler son corps pendant des années pour être le meilleur. 

Malheureusement, encore trop peu de travail est réalisé sur le cerveau, alors que c’est l’organe le plus puissant et impactant sur nos comportements et notre performance.

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C’est normal.

Car on ne nous parle jamais de la gestion mentale, ou de la gestion émotionnelle à l’école.

Quelques skippers ont déjà pris conscience de l'importance du mental.

Ils ne laissent rien au hasard. Surtout pas leur victoire.

Le coaching mental augmente le potentiel du sportif : 

-Sa capacité de résilience dans les moments difficiles. 

-Son énergie pour être plus inspiré et fort.

-Sa capacité de leadership devant son équipe et les médias.

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Cela permet une meilleure gestion de l’énergie et facilite l’effort. 

C’est comme jouer à un jeu vidéo mais en connaissant tous les hacks. C’est bien plus facile et ça donne un avantage.

Une fois que l’on a testé, on se demande comment on faisait avant.

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Et toi, quand feras-tu partie de ces gagnants ?

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Les limites de la préparation mentale pour les skippers de haut niveau

Aujourd’hui, les techniques de préparation mentale les plus utilisées sont : 

-la méditation et la sophrologie, pour gérer la pression avant le départ

-la visualisation pour entraîner ses gestes et ne plus avoir à réfléchir pendant l’action

 

Ce sont des techniques très utilisées dans tous les sports et qui ont fait leurs preuves.

Mais pour certains sports où l’épreuve est très mentale et sur une longue durée, comme le tennis ou la course au large, ces techniques de concentration ne sont pas suffisantes.

Le cerveau a aussitôt fait de faire des siennes lorsque le match ou la couse ne se passent pas comme prévu.

Lorsque la vie personnelle devient plus compliquée.

Lorsque les équipes sont démotivées et qu'il faut faire preuve de leadership.

Lorsque le sponsor vous lâche.

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“Est-ce que je vais être à la hauteur”,

"Pourquoi cela n’arrive qu’à moi”

“Ça ne sert à rien je n’y arriverai jamais”

“Si j’avais contrôlé ce que faisait mon équipe sur ce dossier, on n’en serait pas là”

”Que va t-on penser de moi quand si je finis à cette place ?”

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Toutes ces pensées sont limitantes.

Elles ont un coût énergétique immense (vitale lorsque l’on dort en moyenne 2h par jour!)

Le pire, c’est qu’en plus ces pensées ne nous aident pas à trouver des solutions.

Elles nous enfoncent dans notre désarroi et nous éloignent de notre créativité pour trouver des solutions.

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Tu te reconnais ? C'est normal.

Ces situations arrivent même aux meilleurs.

 

Il faut savoir être prêt. Pour que rien ne te décentre de tes objectifs sportifs.

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Je te propose les méthodes les plus innovantes inspirées des neurosciences et du coaching.

Déjà implantées dans les plus grandes entreprises mondiales, provenant des États-Unis, du Canada, d’Espagne et de France, dans l’optimisation comportementale, la gestion émotionnelle et la gestion d’équipe.

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Ne cherche plus, ton avantage concurrentiel, il est là.